7 mai 2020
Le vent souffle - Gilbert Réant
Le vent par fenêtre ouverte
à soufflé de toutes ses forces,
il hurlait sur l’herbe verte,
une colère qui désamorce .
Une rage qui le calmant enfin,
et poussant de son souffle
le rideau blanc fait de satin,
qui par son aspect maroufle .
Le vent vient me caresser,
me touche de ses doigts,
semble déposer un baiser,
sur mon corps qui à froid.
Ma main a son tour s’anime
te cherche par habitude,
se rassure à la plus minime,
réponse de mon incertitude.
Je suis là prés de toi encore,
et le vent soudain la réveille,
je voudrais que la raison ignore,
que le vent aime aussi le soleil.
GILBERT
Bajus
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